Autant nous avions été emballés par « L’espoir d’aimer en chemin », autant nous avons refermé avec hâte « Aimer à peine », suite inutile d’Effroyables jardins.
Tout l’art d’écrire, toute la magie des mots et des situations semblent avoir abandonner l’auteur dans ce petit fascicule agaçant.
L’écriture en est saccagée, inutilement vulgaire.
Nous avons du mal à suivre le parcours chaotique d’un jeune français, stagiaire en Allemagne et qui va tomber amoureux d’une demoiselle dont il découvrira par hasard que le père fut l’officier nazi qui envoya son propre père en déportation. S’en suivront des situations proprement abracadabrantes, à grands coups de cuites à la bière et dont personne, et surtout pas l’auteur, ne sortira grandi.
A fuir au plus vite…
Publié aux Editions Joelle Losfeld – 77 pages
Blog d'humeur littéraire - Livres, lectures, romans, essais, critiques. La lecture comme source de plaisir, d'inspiration et de réflexion.
Qui êtes-vous ?
- Thierry Collet
- Cadre dirigeant, je trouve en la lecture une source d'équilibre et de plénitude. Comme une mise en suspens du temps, une parenthèse pour des évasions, des émotions que la magie des infinis agencements des mots fait scintiller. Lire m'est aussi essentiel que respirer. Lisant vite, passant de longues heures en avion, ma consommation annuelle se situe entre 250 et 300 ouvrages. Je les bloggue tous, peu à peu. Tout commentaire est bienvenu car réaliser ces notes de lecture est un acte de foi, consommateur en temps. N'hésitez pas également à consulter le blog lecture/écriture auquel je contribue sur le lien http://www.lecture-ecriture.com/index.php Bonnes lectures !
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